Doctor Who - Saison 1

ep 1 : ze rile identiti ov ze dalèque.

l'épisode est terrifiant de fou, poussant l'épouvante et l'horreur à son paroxysme en montrant la véritable nature et aspect des daleks.
mon chien est mort en visionnant cet épisode, il a couiné comme si on lui arrachait la queue et il a expiré sont dernier souffle en agonisant comme un poisson sur une berge.

mon nordi c'est mis en veille à durée indéterminé. ma souris ne me reconnaît plus (avc semble t il), à chaque fois que je fais clic droit, un appel à l'aide s'affiche et je sens que la touche gauche est molle et ne réponds plus.

ma carte son et mes enceintes se sont suicidé peu de temps après avoir converti les bits audio en fréquences électriques analogique, alors qu'ils en avaient vu bien d'autre (lara fabian, patrick bruel, karisse, marine, macron, le medef, n'importe quel politicards en fait, etc...) je croyait qu'ils étaient sans faille ni crainte, à toute épreuve... et bien non.
cet épisode aura eu leurs peaux de silice blindé pcb comme un acide chlorhydrique dissout le calcaire, on aurait dit une crise d'épilepsie avec mousse qui sort de la bouche et convulsions spasmodiques dans et jolie spectacle lumineux d'étincelles sporadiques.

ma femme m'a quittée en hurlant que j'étais un spectateur dépravé et psychopathe qui se délecte de la violence du monde mis en scène par des auteurs pervers. elle a dit que de lui proposer de regarder cette épisode s'apparentait à de le violence conjugale. le juge lui donne raison et j'écris ces quelques mots depuis ma cellule de prison où mon co-détenu se masturbe sans cesse en revisionnant cet épisode maudit.

je suis saisi d'un SPT depuis et je vois dès que je ferme un oeil, leurs trognes cauchemardesques transportées dans leurs véhicules de mort me dévorant avec appétit.
je ne m'en remet pas. je consulte depuis, mais mon psy en milieu carcérale, refuse d'aborder le sujet. elle dit que certaine choses ne doivent pas être discutées ni même verbalisées et quand elle me dit ça, elle pointe vers mon œil, et ce de manière très menaçante, son stylo rouge et de la bave bulle à la commissure des ses lèvres rétractées dans un rictus de rage.

je salue les scénaristes ainsi que les équipes techniques et leur haine du monde et des spectateurs, car ils nous amènent là un moment d’anthologie de l'horreur physique et psychologique sans précédant.

sinon, les acteurs sont cool.